Éthique de travail

Traduire, c’est exprimer de manière exacte et complète, au moyen d’une langue, ce qui est déjà exprimé au moyen d’une autre langue, dans une unité inséparable de contenu et de forme.

Fyodorov A.V.

L’objectif de toute traduction est de familiariser le lecteur ou l’auditeur qui ne connaît pas la langue d’origine avec le texte traduit, en l’en rapprochant le plus possible. Afin de traduire, il est d’abord nécessaire de comprendre ce qui est traduit. Pour ce faire, le traducteur utilise des images linguistiques. En d’autres termes, l’interprétation se fait grâce aux éléments de la traduction déjà en place. Il faut ensuite trouver les moyens d’expression appropriés dans la langue d’accueil. Le choix de ces moyens (mots, collocations, formes grammaticales) dépend beaucoup des qualités personnelles du traducteur et de son approche du texte original. L’interprétation correcte ou incorrecte de l’original joue un rôle très important dans ce processus. De celle-ci dépend l’accomplissement de la tâche de traduction : exprimer l’unité de contenu et de forme que représente l’original. Le choix adéquat des moyens linguistiques est la condition de base pour l’accomplissement de cette tâche.

Un code de déontologie en traduction peut être décrit comme un ensemble de principes moraux et de règles devant guider les traducteurs dans leur comportement professionnel. Souvent, les traducteurs privés, agences de traduction ou associations élaborent leur propre code de déontologie. Bien qu’il n’existe pas de code unique, tous les codes de déontologie des traducteurs se ressemblent. En ce qui nous concerne, les principes fondamentaux les plus courants que nous respectons et adoptons pour notre travail sont les suivants :

  1. Exactitude – le traducteur ou l’interprète doit transmettre le message original fidèlement et intégralement, sans rien omettre ni ajouter à ce qui a été dit, en tenant compte des nuances linguistiques de la langue originale et de la langue cible, et en préservant le ton et l’esprit du texte original.
  2. Sensibilité culturelle – le traducteur doit être conscient du fait qu’il existe des différences culturelles et des similitudes entre les personnes sans leur attribuer une valeur – positive ou négative, meilleure ou pire, bonne ou mauvaise.
  3. Responsabilité – le traducteur doit faire des recherches sur le sujet pour s’assurer que la traduction est scientifiquement correcte.
  4. Honnêteté – le traducteur ne doit pas accepter de missions qu’il n’est pas en mesure de remplir, soit parce qu’elles ne correspondent pas à ses qualifications, soit parce qu’il n’est pas en mesure de respecter les délais.
  5. Confidentialité – le traducteur ne doit divulguer aucune information découverte au cours du processus de traduction, y compris, mais sans s’y limiter, toute information obtenue par l’accès à des documents et à d’autres matériels écrits.
  6. Respect des délais – le traducteur doit finaliser le travail dans les délais impartis.

Notre travail suit les directives ci-dessus de façon stricte, et nous garantissons ainsi sa bonne qualité.